Aujourd’hui, aucun dirigeant d’entreprise ne peut ignorer le risque cyber. Intimement lié à l’essor de la numérisation et au développement d’organisations de plus en plus connectées et dépendantes les unes des autres, les cyberattaques se multiplient et peuvent avoir des conséquences dramatiques pour les entreprises qui en sont victimes.
Cette recrudescence de cyberattaques concerne tout type d’entreprise, quelle que soit leur taille.
En 2020, plus de 10000 entreprises ont sollicité de l’assistance sur la plateforme Cybermalveillance.gouv.fr.
De son côté, l’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information (ANSSI) rapporte une augmentation de 255% des signalements d’attaques par Ransomware au cours de l’année 2020.
Avec la crise sanitaire, les habitudes de travail ont été profondément modifiées et nombre d’entreprises ont eu recours au télétravail. Ce nouveau mode d’organisation mis en place dans l’urgence a offert aux pirates informatiques de nouvelles possibilités pour s’infiltrer dans les systèmes informatiques des entreprises.
Le développement du cloud computing, la multiplication des objets connectés et l’accroissement du nomadisme chez les collaborateurs élargit le cyberespace et multiplie les besoins en nouvelles fonctionnalités des systèmes d’information.
Toujours plus d’interdépendances des systèmes, élargissement du cyberespace et déploiement de la 5G… La transformation numérique en cours va révolutionner les modes de fonctionnement des organisations et offrir de nouvelles cibles pour les pirates informatiques.
Selon les experts, les attaques dans les années à venir, vont se multiplier et les cybercriminels vont redoubler de créativité et innover pour provoquer toujours plus de perturbations.
Dans ce contexte, il est essentiel pour les entreprises de tout mettre en œuvre pour se prémunir contre des actes de cybermalveillance.
Véritable enjeu stratégique, la cybersécurité fait l’objet d’un réel retard dans les TPE, PME et ETI. Si la prise de conscience du danger est aujourd’hui acquise, la méconnaissance des mesures à prendre ainsi que les manques de moyens à y consacrer freinent la mise en place d’actions de prévention.
La cyber-hygiène : Il s’agit de l’ensemble des bonnes pratiques nécessaires pour se prémunir contre les actes de cybermalveillance. Ces bonnes pratiques doivent être observées par l’ensemble des collaborateurs de l’entreprise mais également de tout son écosystème : les partenaires, les clients, les fournisseurs, les sous-traitants, les prestataires…
Dans son guide dédié aux TPE et PME Cybermalveillance.gouv.fr et BPI France ont édicté 6 règles de bases pour faire de la cyber-hygiène un élément de la culture d’entreprise.
Il s’agit d’un collaborateur dont le rôle sera d’évaluer les risques cyber au sein de l’entreprise et d’élaborer un plan prévention – action. C’est le relai du dirigeant en matière de cybersécurité.
Les collaborateurs sont les premiers acteurs de la prévention des risques en matière de sécurité informatique.
Nous sommes tous aujourd’hui sensibilisés à l’importance des mots de passe.
Certains comportements peuvent fragiliser le système informatique d’une entreprise. Voici quelques exemples de bonnes pratiques à respecter :
Il existe de nombreuses bonnes pratiques permettant de se prémunir contre les actes de cybermalveillance
Comme évoqué précédemment, l’implication des collaborateurs, tout comme l’utilisation de matériels fiables et dûment mis à jour, est essentiel pour prévenir les attaques informatiques.
Être accompagné par un prestataire pour réaliser un audit de sécurité, former les collaborateurs et maintenir le parc informatique et les logiciels opérationnels s’avère être une première étape essentielle dans la prévention des risques cyber .
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